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Resumen: En Julio César aborda William Shakespeare la polémica figura del emperador romano con aguda visión y con una originalidad dramática inédita hasta entones. Siguiendo la pauta trazada por Plutarco en las "Vidas paralelas", contrasta virtudes y defectos de los protagonistas, resalta las ironías del destino y aprovecha el valor de la anécdota. De ahí que los personajes de la tragedia acusen un relativismo y una ambivalencia que confieren a la obra, en apariencia muy sencilla, una notable complejidad. Ángel Luis Pujante, catedrático de Filología Inglesa en la Universidad de Murcia, traductor y preparador de las ediciones de las obras de William Shakespeare en la Colección Austral, ofrece aquí una traducción fiel a la naturaleza dramática de la obra, manteniendo su oralidad, ritmo y concisión.

Resumen: Dos de las mayores obras teatrales de la literatura universal, y las dos más populares de William Shakespeare. Las infinitas cavilaciones del príncipe de Dinamarca, acechando siempre en la naturaleza humana, consciente de su fragilidad y su corruptibilidad. La tragedia imperecedera de los amantes de Verona, que incluye algunos de los personajes más queribles de la literatura.

Resumen: A young prince meets with his father's ghost, who alleges that his own brother, now married to his widow, murdered him. The prince devises a scheme to test the truth of the ghost's accusation, feigning wild madness while plotting a brutal revenge until his apparent insanity begins to wreak havoc on innocent and guilty alike.

Resumen: "Hamlet: Mort à peine depuis deux mois, non, pas autant, pas deux, Un si execellent roi, qui était à celui-ci Ce qu'Hypérion est à un satyre, si tendre pour ma mère Qu'il ne permettrait pas aux vents du ciel De toucher trop rudement son visage. Ciel et terre, Est-ce à moi de m'en souvenir ? Oh ! elle se pendait à lui Comme si son appétit de lui croissait De s'en repaître, et pourtant en un mois, N'y pensons plus : fragilité, ton nom est femme. Un petit mois, les souliers n'étaient pas même usés Avec lesquels elle suivait le corps de mon pauvre père, Comme Niobé, tout en larmes, elle, oui, elle - Ô Dieu, une bête à qui manque la faculté de raison Aurait pleuré plus longtemps ! - se mariait à mon oncle, Le frère de mon père, mais qui ne ressemble pas plus à mon père Que moi à Hercule..." (Acte I, scène 2).