Les pionniers de l'interprétation au Canada
Tipo de material: Recurso continuoSeries Meta Volume 22, numéro 1, mars 1977 ; v. 22, n. 1Detalles de publicación: Montréal : Université de Montréal , mars 1977Descripción: p. 5-14ISSN:- 0026-0452
Tipo de ítem | Biblioteca actual | Colección | Signatura topográfica | Estado | Notas | Fecha de vencimiento | Código de barras | |
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Artículos/Analíticas | Biblioteca Bartolomé Mitre | Colección Digital | H 23 (Navegar estantería(Abre debajo)) | Disponible | META-22-1-5-14 | |||
Artículos/Analíticas | Biblioteca Bartolomé Mitre | Colección General | H 23 (Navegar estantería(Abre debajo)) | No para préstamo | Recurso digital | 9581 |
incl. ref.
Numéro spécial: "Histoire de la traduction au Canada"
La Barre, successeur de Frontenac, écrivit en 1682 "[qu'] une des personnes qui est la plus nécessaire au service du Roi en ce pays est un interprète" En effet, le rôle des interprètes sous le régime français ne se limitait pas à celui de "truchement" pour les langues. Ces mandataires des marchands et des autorités civiles auprès des tribus (les interprètes officiels, comme Nicolas Perrot, ajoutaient sous leur signature la mention "Interprète du Roy" remplissaient la double fonction de commis-voyageurs et d'ambassadeurs. Ils vécurent dans l'ombre des gouverneurs et des personnages éminents de nos annales. Leur profonde connaissance du milieu indigène en faisait des conseillers tout désignés pour les affaires indiennes.
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